Solitude
01 mai 2020
Loin d’être celle du paria, la solitude de l’humaniste est celle des plaisirs de l’esprit.
Celle de la lecture, de la méditation et du rêve ; elle rend libre. Et chez les romantiques, elle va de pair avec la nature.
« La plus grande chose du monde, c’est de savoir être à soi. » En consacrant l’un des chapitres de ses Essais à la solitude, Michel de Montaigne (1533-1592) participe à la réhabilitation d’une condition jugée suspecte au Moyen Âge.
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le 01/04/20